Sahih Abi Daoud - Hadith n°4700


D’après Abou Hafsa : ‘Oubada Ibn Samit (qu’Allah l’agrée) a dit à son fils: Ô mon fils ! Tu ne trouveras pas le goût de la foi jusqu’à ce que tu saches que ce qui t’a touché ne pouvait pas te manquer et que ce qui t’a manqué ne pouvait pas te toucher.
J’ai entendu le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) dire: « Certes la première chose qu’Allah a créé est la plume. Alors Il lui a dit: Écris !
Elle a dit: Seigneur ! Que dois-je écrire ?
Il a dit: Écris la destinée de chaque chose jusqu’à ce qu’ait lieu l’Heure ».
Ô mon fils ! J’ai certes entendu le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) dire: « Celui qui meurt sur autre chose que cela ne fait pas partie de moi ».
(Rapporté par Abou Daoud dans ses Sounan n°4700 et authentifié par Cheikh Albani dans Sahih Abi Daoud, Hadith Sahih)
عن أبي حفصة قال : قال عبادة بن الصامت رضي الله عنه لابنه : يا بنيَّ ! لن تجدَ طعم الإيمانِ حتَّى تعلمَ أنَّ ما أصابَك لم يَكن ليخطئَكَ وما أخطأَك لم يَكن ليصيبَكَ
سمعت رسول الله صلّى الله عليه و سلّم يقول : إنّ أوّل ما خلق الله القلم فقال له : اكتب
قال : رب ! وماذا أكتب ؟
قال الله : اكتب مقادير كلّ شيء حتّى تقوم الساعة
يا بني ! إنّي سمعت رسول اللهِ صلّى الله عليه وسلّم يقول : من مات على غير هذا فليس منّي 
(رواه أبو داود في سننه رقم ٤٧٠٠ و صححه الشيخ الألباني في صحيح أبي داود)

حكم : صحيح

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