Il a prié pour nous puis a dit :
« Nous avons terminé la prière. Celui qui veut rester pour le sermon qu’il reste et celui qui veut partir qu’il parte ».
(Rapporté par Ibn Maja dans ses Sounan n°1290 et authentifié par Cheikh Albani dan Sahih ibn Maja)
Si la personne choisit de rester et d’assister au sermon, il lui est alors obligatoire de garder le silence
(Voir Al Ta’liq ‘Alal Kafi de Cheikh ‘Otheimine vol 2 p 663/664, Al Charh Al Mumti’ de Cheikh ‘Otheimine vol 5 p 146/147)
· D’après Younous : Al Hassan Al Basri (mort en 110 du calendrier hégirien) interdisait de parler pendant que l’imam faisait le sermon le jour du ‘id.
(Rapporté par Ibn Abi Chayba dans son Moussanaf n°5809 et sa chaîne de transmission est authentique)
عن يونس عن الحسن البصري أنه كان يكره الكلام والإمام يخطب يوم العيد
(رواه ابن أبي شيبة في المصنف رقم ٥٨٠٩ وسنده صحيح)
· D’après Ibn Jourayj : ‘Ata (mort en 114 du calendrier hégirien) interdisait de parler le jour du ‘id pendant le sermon de l’imam.
(Rapporté par Ibn Abi Chayba dans son Moussanaf n°5810 et sa chaîne de transmission est authentique)
عن ابن جريج عن عطاء أنه كره الكلام يوم العيد والإمام يخطب
(رواه ابن أبي شيبة في المصنف رقم ٥٨١٠ وسنده صحيح)
· D’après Moughira : Ibrahim An Nakha’i (mort en 96 du calendrier hégirien) interdisait de parler le jour du ‘id pendant le sermon de l’imam.
(Rapporté par Ibn Abi Chayba dans son Moussanaf n°5811 et sa chaîne de transmission est authentique)
عن مغيرة عن إبراهيم النخعي أنه كره الكلام يوم العيد والإمام يخطب
(رواه ابن أبي شيبة في المصنف رقم ٥٨١١ وسنده صحيح)
· D’après Sofiane : J’ai dit à Abou Ishaq (mort en 127 du calendrier hégirien) : Est-il interdit de parler le jour du ‘id pendant le sermon de l’imam ?
Il a dit : Oui.
(Rapporté par Ibn Abi Chayba dans son Moussanaf n°5813 et sa chaîne de transmission est authentique)
عن سفيان عن أبي إسحاق قال : قلت له : تكره الكلام في العيد والإمام يخطب ؟
قال : نعم
(رواه ابن أبي شيبة في المصنف رقم ٥٨١٣ وسنده صحيح)
قد قضينا الصلاة فمن أحب أن يجلس للخطبة فليجلس ومن أحب أن يذهب فليذهب
(رواه ابن ماجه في سننه رقم ١٢٩٠ وصححه الشيخ الألباني في صحيح ابن ماجه)
حكم : صحيح
J’ai dit : Certes je jeûne.
‘Othman (qu’Allah l’agrée) a dit : J’ai entendu le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) dire :
« Le jeûne est une protection comme la protection de l’un d’entre-vous dans le combat ». (*)
(Rapporté par Nasai dans ses Sounan n°2231 et authentifié par Cheikh Albani dans Sahih Nasai, Hadith Sahih)
(*) C’est-à-dire une armure.
فقال عثمان رضي الله عنه : سمعت رسول الله صلى الله عليه وسلم يقول :
الصيام جنة كجنة احدكم من القتال
(رواه النسائي في سننه رقم ٢٢٣١ وصححه الشيخ الألباني في صحيح النسائي)
حكم : صحيح
« Le jeûne est une protection et c’est une citadelle parmi les citadelles du croyant.
Chaque acte est pour son auteur sauf le jeûne, Allah a dit : Le jeûne est pour Moi et c’est Moi qui le récompense ».
(Rapporté par Tabarani et authentifié par Cheikh Albani dans Sahih Al Jami n°3881, Hadith Sahih)
الصيام جنة وهو حصن من حصون المؤمن وكل عمل لصاحبه إلا الصيام يقول الله : الصيام لي وانا اجزي به
(رواه الطبراني وحسنه الشيخ الألباني في صحيح الجامع رقم ٣٨٨١)
حكم : صحيح
(Rapporté par Ibn Hibban dans son Sahih n°3467 et authentifié par Cheikh Albani dans Sahih Al Jami’ n°1844, Hadith Hasan)
(رواه ابن حبان في صحيحه رقم ٣٤٦٧ وحسنه الشيخ الألباني في صحيح الجامع رقم ١٨٤٤)
حكم : حسن
Le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) a dit : « Je te recommande le jeûne car certes il n’a pas d’équivalent ».
J’ai dit : Ô Messager d’Allah ! Ordonne-moi un acte !
Le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) a dit : « Je te recommande le jeûne car certes il n’a pas d’équivalent ».
(Rapporté par Nasai dans ses Sounan n°2223 et authentifié par Cheikh Albani dans sa correction de Sounan Nasai, Hadith Sahih)
قال رسول الله صلى الله عليه وسلم : عليك بالصوم فإنه لا عدل له
قلت : يا رسول الله ! مرني بعمل
قال رسول الله صلى الله عليه وسلم : عليك بالصوم فإنه لا عدل له
(رواه النسائي في سننه رقم ٢٢٢٣ وصححه الشيخ الألباني في صحيح النسائي)
حكم : صحيح
« Chaque acte du fils de Adam est pour lui et la bonne action compte de dix fois jusqu’à sept cent fois.
Allah a dit : Sauf le jeûne ! Il est à Moi et c’est Moi qui le récompense.
Le jeûneur délaisse la nourriture pour Moi.
Il délaisse la boisson pour Moi.
Il délaisse son plaisir sexuel pour Moi et il délaisse son épouse pour Moi ».
(Rapporté par Ibn Khouzeima dans son Sahih n°1897 et authentifié par Cheikh Albani dans Sahih At Targhib Wa Tarhib n°978, Hadith Sahih)
كل عمل ابن آدم له الحسنة بعشر أمثالها إلى سبعمائة ضعف قال الله : إلا الصيام فهو لي وأنا أجزي به يدع الطعام من أجلي ويدع الشراب من أجلي ويدع لذته من أجلي ويدع زوجته من أجلي
(رواه ابن خزيمة في صحيحه رقم ١٨٩٧ وصححه الشيخ الألباني في صحيح الترغيب والترهيب ج ١ ص ٥٧٦)
حكم : صحيح
Oubay (qu’Allah l’agrée) a dit : Le verset untel a-t-il été abrogé ou bien l’as-tu oublié ?
Le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) a dit : « On me l’a plutôt fait oublier ».
(Rapporté par Al Harbi dans Gharib Al Hadith vol 3 p 1045 et authentifié par Cheikh Albani dans la Silsila Sahiha n°2579, Hadith Isnad Sahih)
فقال أبي رضي الله عنه : آية كذا نسخت أم نسيتها
قال النبي صلى الله عليه وسلم : بل أنسيتها
(رواه الحربي في غريب الحديث ج ٣ ص ١٠٤٥ وصححه الشيخ الألباني في السلسلة الصحيحة رقم ٢٥٧٩)
حكم : إسناده صحيح
« À l’époque du Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui), il y avait deux sécurités.
Une de ces deux sécurités a été élevée et il reste l’autre :
– Allah ne va pas les châtier alors que tu es parmi eux
– et Allah ne va pas les châtier alors qu’ils demandent pardon – ».
(Rapporté par l’imam Ahmed dans son Mousnad n°19506 et authentifié par Cheikh Shouayb Arnaout dans sa correction du Mousnad, Hadith Sahih Li Ghayrihi)
(*) Il s’agit de la traduction rapprochée et approximative du verset 33 de la sourate Al Anfal n°8.
Ainsi, les deux sécurités étaient la présence du Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) parmi les croyants et la demande de pardon.
Le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) est mort et il reste donc la demande de pardon qui permet d’être protégé du châtiment d’Allah.
أمانان كانا على عهد رسول الله صلى الله عليه وسلم رفع أحدهما وبقى الآخر :
وما كان الله ليعذبهم وأنت فيهم وما كان الله معذبهم وهم يستغفرون
(رواه الإمام أحمد في مسنده رقم ١٩٥٠٦ وصححه الشيخ شعيب الأرناؤوط في تحقيق المسند)
حكم : صحيح لغيره
– Quiconque fait un mal sera rétribué pour celui-ci -.
Alors il a dit : Nous allons être rétribués pour chaque chose que nous faisons. Nous sommes donc perdus !
Ceci est parvenu au Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) qui a dit:
« Oui. Les croyants sont rétribués pour cela dans la vie d’ici-bas à travers les malheurs dans leurs corps qui leurs causent du tort ».
(Rapporté par Ahmed et authentifié par Cheikh Albani dans la Silsila Sahiha vol 5 p 345, Hadith Isnad Sahîh selon les Condition de Mouslim)
(*) C’est-à-dire les maladies, les problèmes de santé…
من يعمل سوءًا يجز به
قال : إنا لنجزى بكل عملنا هلكنا إذًا
فبلغ ذاك رسول الله صلى الله عليه وسلم فقال :
نعم يجزى به المؤمنون في الدنيا في مصيبة في جسده فيما يؤذيه
(رواه أحمد وصححه الشيخ الألباني في السلسلة الصحيحة ج ٥ ص ٣٤٥)
حكم : إسناده صحيح على شرط مسلم
« Ô vous les gens ! Je suis certes l’envoyé de l’Envoyé d’Allah (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) auprès de vous.
Il vous informe que le retour sera auprès d’Allah soit dans un paradis soit dans un feu et ceci pour l’éternité sans aucune mort, une résidence que l’on ne quittera pas ».
(Rapporté par Tabarani et authentifié par Cheikh Albani dans Sahih Taghrib Wa Tarhib n°3770, Hadith Sahih Li Ghayrihi)
يا أيها الناس ! إني رسول رسول الله صلى الله عليه وسلم إليكم يخبركم أن المرد إلى الله إلى جنة أو نار خلود بلا موت وإقامة بلا ظعن
(رواه الطبراني وصححه الشيخ الألباني في صحيح الترغيب و الترهيب رقم ٣٧٧٠)
حكم : صحيح لغيره
Alors il a dit: « Certes Djibril m’a ordonné de faire passer en premier le plus âgé ».
(Rapporté par l’imam Ahmed dans son Mousnad n°6226 et authentifié par Cheikh Ahmed Chakir ainsi que par Cheikh Shouayb Arnaout dans leurs corrections respectives du Mousnad, Hadith Isnand Sahih)
(1) Le siwak est un morceau de bois avec lequel on se nettoie les dents.
Ainsi le sens est que le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) leur a passé le siwak qu’il venait d’utiliser afin qu’ils puissent profiter de la bénédiction qu’il y avait dans sa salive.
(Hachiya As Sindi ‘Ala Mousnad, hadith n°2889)
(2) Djibril est le nom de l’ange qui venait au Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) avec la révélation venant d’Allah.
(رواه الإمام أحمد في مسنده رقم ٦٢٢٦ و صححه الشيخ أحمد شاكر في تحقيق المسند و حسنه الشيخ شعيب الأرناؤوط في تحقيق المسند)
حكم : إسناده صحيح
Elle a dit : Il faisait tout cela. Parfois il priait le witr au début de la nuit et parfois il le priait à la fin de la nuit.
J’ai donc dit : Louange à Allah qui a mis une facilité dans cette chose.
Ensuite j’ai dit : Comment était sa récitation ? Est-ce qu’il récitait à voix basse ou bien à voix haute ?
Elle a dit : Il faisait tout cela. Parfois il récitait à voix basse et parfois à voix haute.
J’ai donc dit : Louange à Allah qui a mis une facilité dans cette chose.
Ensuite j’ai dit : Comment faisait-il pour la janaba ? Est-ce qu’il faisait le ghousl avant de dormir ou bien il dormait avant de faire le ghousl ?
Elle a dit : Il faisait tout cela. Parfois il faisait le ghousl et dormait ensuite et parfois il faisait les ablutions et dormait ensuite.
J’ai donc dit : Louange à Allah qui a mis une facilité dans cette chose.
(Rapporté par Tirmidhi dans ses Sounan n°2924 qui l’a authentifié et il a également été authentifié par Cheikh Albani dans Sahih Tirmidhi)
فقالت كل ذلك قد كان يصنع ربما اوتر من اول الليل وربما اوتر من اخره
قلت الحمد لله الذي جعل في الامر سعة
فقلت كيف كانت قراءته اكان يسر بالقراءة ام يجهر
قالت كل ذلك كان يفعل قد كان ربما اسر وربما جهر
فقلت الحمد لله الذي جعل في الامر سعة
قلت فكيف كان يصنع في الجنابة اكان يغتسل قبل ان ينام ام ينام قبل ان يغتسل
قالت كل ذلك قد كان يفعل ربما اغتسل فنام وربما توضأ فنام
قلت الحمد لله الذي جعل في الامر سعة
(رواه الترمذي في سننه رقم ٢٩٢٤ وحسنه وصححه الشيخ الألباني في صحيح الترمذي)
حكم : صحيح
Alors le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) a dit: « Certes s’il avait prononcé le nom d’Allah (1), ce repas vous aurait suffi à tous ». (2)
(Rapporté par Tirmidhi dans ses Sounan n°1858 qui l’a authentifié et il a également été authentifié par Cheikh Albani dans Sahih Tirmidhi, Hadith Sahih)
(1) C’est-à-dire : Si le bédouin avait dit – Bismillah – avant de commencer à manger.
(2) Ce hadith montre que le fait de ne pas dire – Bismillah – au début du repas est une cause pour que la bénédiction soit retirée du repas car alors le Chaytan mange avec la personne.
Ainsi, la quantité de nourriture que la personne jugeait comme lui étant suffisante ne lui suffira plus en réalité.
(Charh Riyad Salihin de Cheikh ‘Otheimine vol 4 p 197)
فقال رسول الله صلى الله عليه وسلم : أما إنه لو سمى لكفاكم
(رواه الترمذي في سننه رقم ١٨٥٨ وصححه وصححه أيضاً الشيخ الألباني في تحقيق سنن الترمذي)
حكم : صحيح
« Je n’ai vu personne de plus miséricordieux envers les familles que le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) ».
(*) C’est-à-dire envers les femmes et les enfants.
(Rapporté par Mouslim dans son Sahih n°2316)
ما رأيت أحدا كان أرحم بالعيال من رسول الله صلى الله عليه وسلم
(رواه مسلم في صحيحه رقم ٢٣١٦)
« Ô Anas ! Je veux jeûner ainsi donne-moi quelque chose à manger ! ».
Je lui ai apporté des dattes et un récipient avec de l’eau et cela après que Bilal (qu’Allah l’agrée) ait fait le adhan.
Le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) a dit: « Ô Anas ! Vois si tu trouves un homme qui viendrait manger avec moi ».
J’ai donc appelé Zayd Ibn Thabit (qu’Allah l’agrée) qui a dit: J’ai certes bu du sawiq car je veux jeûner.
Le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) a dit: « Moi aussi je veux jeûner ».
Il a donc mangé le souhour avec lui, s’est levé, a prié deux unités de prière puis il est sorti pour la prière.
(Rapporté par Nasai dans ses Sounan n°2167 et authentifié par Cheikh Albani dans Sahih Nasai, Hadith Isnad Sahih)
يا أنس ! إني أريد الصيام أطعمني شيئًا
فأتيته بتمر وإناء فيه ماء وذلك بعدما أذن بلال رضي الله عنه فقال : يا أنس ! انظر رجلاً يأكل معي
فدعوت زيد بن ثابت رضي الله عنه فجاء فقال : إني قد شربت شربة سويق وأنا أريد الصيام
فقال رسول الله صلى الله عليه وسلم : وأنا أريد الصيام
فتسحر معه ثم قام فصلى ركعتين ثم خرج إلى الصلاة
(رواه النسائي في سننه رقم ٢١٦٧ وصححه الشيخ الألباني في صحيح النسائي)
حكم :إسناده صحيح
J’ai dit : Combien de temps s’est-il écoulé entre les deux ?
Il a dit : Cinquante versets.
(Rapporté par Mouslim dans son Sahih n°1097)
قلت : كم كان قدر ما بينهما ؟
قال : خمسين آية
(رواه ومسلم في صحيحه رقم ١٠٩٧)
J’ai dit : Combien de temps s’est-il écoulé entre le adhan et le souhour ?
Il a dit : Le temps de lire cinquante versets.
(Rapporté par Al Boukhari dans son Sahih n°1921)
(1) Les savants qui sont de ce premier avis disent que le adhan désigne ici l’appel à la prière qui a lieu au moment du lever de l’aube pour informer les gens de l’entrée du temps de la prière du sobh.L’imam Al ‘Ayni (mort en 855 du calendrier hégirien) a dit : « Ce hadith appuie le fait de retarder le souhour jusqu’à ce qu’il ne reste entre l’appel à la prière et le moment du repas que le temps de lire cinquante versets ».
(‘Omdatoul Qari vol 10 p 426)
(2) Il y a dans le fait que Zayd Ibn Thabit (qu’Allah l’agrée) estime cette durée en mentionnant le nombre de versets qu’il est possible de lire durant celle-ci le fait, qu’à la base, ce moment-là est un moment d’adoration et de lecture du Coran.
(Voir Fath Al Bari de l’imam Ibn Hajar 4/138)
قلت : كم كان بين الأذان والسحور ؟
قال : قدر خمسين آية
(رواه البخاري في صحيحه رقم ١٩٢١)
حكم : إسناده صحيح على شرط الشيخين
Au moment de la prière du ‘asr, certains d’entre eux étaient sur le chemin.
Une partie des gens a dit : Nous ne prierons pas avant d’arriver.
L’autre partie a dit : Nous allons plutôt prier car ce n’est pas cela qu’il voulait de nous.
Ceci a été mentionné au Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) et il n’a fait de reproches à aucun d’entre eux.
(Rapporté par Al Boukhari dans son Sahih n°4119)
(1) C’est-à-dire qu’ils ont compris de la parole du Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) qu’il fallait avancer autant que possible dans le chemin pour se rendre chez Bani Qouraydha mais prier la prière du ‘asr dans son temps.
(2) Les compagnons (qu’Allah les agrée tous) ont donc divergé dans la compréhension qu’ils ont eue de cette parole du Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui). Une partie d’entre eux avait raison et l’autre partie avait donc forcément tort. Malgré cela, le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) n’a fait de reproches à aucun d’entre eux.
L’imam Nawawi (mort en 656 du calendrier hégirien) a dit en explication de ce hadith : « Il n’y a pas de divergence sur le fait qu’il ne faut pas être dur envers la personne qui a fait un effort d’interprétation et cela même si elle s’est trompée ».
(Charh Sahih Mouslim vol 12 p 98. Voir également Al Istidhkar de l’imam Ibn ‘Abdel Bar vol 1 p 144)
فأدرك بعضهم العصر في الطريق فقال بعضهم : لا نصلي حتى نأتيها
وقال بعضهم : بل نصلي لم يرد منا ذلك
فذكر ذلك للنبي صلى الله عليه وسلم فلم يعنف واحدًا منهم
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٤١١٩)
حكم : إسناده صحيح على شرط الشيخين
« La première personne qui sera appelée le jour de la résurrection sera Adam et alors sa descendance va regarder.
Il sera dit : Ceci est votre père Adam.
Adam va dire : Labayk Wa Sa’dayk ! (1)
Allah va dire : Mets de côté les gens de la géhenne parmi ta descendance. (2)
Il va dire : Quelle proportion est-ce que je dois mettre de côté ?
Allah va dire : Mets de côté pour chaque centaine quatre-vingt-dix-neuf personnes ».
Les compagnons ont dit : Ô Messager d’Allah ! S’il est mis de côté parmi nous quatre-vingt-dix-neuf personnes pour chaque centaine, que va-t-il rester d’entre nous ?
Le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) a dit:
« Certes ma communauté comparée aux autres communautés n’est que comme un poil blanc sur un taureau noir ». (3)
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°6529)
أول من يدعى يوم القيامة آدم فتراءى ذريته فيقال : هذا أبوكم آدم
فيقول : لبيك وسعديك
فيقول الله : أخرج بعث جهنم من ذريتك
فيقول : يا رب ! كم أخرج ؟
فيقول : أخرج من كل مائة تسعة وتسعين
فقالوا : يا رسول الله ! إذا أخذ منا من كل مائة تسعة وتسعون فماذا يبقى منا ؟
قال النبي صلى الله عليه وسلم : إن أمتي في الأمم كالشعرة البيضاء في الثور الأسود
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٦٥٢٩)
حكم : إسناده صحيح على شرط الشيخين
Il a fait les ablutions et a jeté de l’eau sur moi.
J’ai donc repris mes esprits et j’ai dit : Il n’y a qu’une kalala (1) qui va hériter de moi. Comment doit-être partagé l’héritage ?
Alors le verset sur l’héritage a été révélé. (2)
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°5676)
(1) Ce terme signifie une personne qui meurt et n’a ni aïeuls ni descendants.
(2) C’est-à-dire le verset 176 de la sourate Nissa n°4.
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Il y a de très nombreux conflits familiaux dont la cause est que, lors des décès, à cause de la faiblesse de leur foi et de leur amour des biens de l’ici-bas, certaines personnes essayent de prendre une part plus importante des héritages que celle qu’Allah leur a attribuée.
Ainsi, dans ce sujet, nous allons mentionner des textes sur l’importance de respecter les règles des héritages et sur la forte menace qui pèse sur ceux qui ne les respectent pas.
1. Les parts d’héritage sont des obligations décrétées et imposées par Allah et ainsi il n’est pas permis de les transgresser
Toutes les règles de la législation islamique viennent d’Allah mais le fait que cet élément soit souligné pour certaines règles précises montre l’importance particulière de celles-ci.
– Allah a dit dans la sourate Nissa n°4 verset 7 (traduction rapprochée et approximative du sens du verset) : « Aux hommes revient une part de l’héritage laissé par leur père et mère et par leurs proches et aux femmes revient une part de l’héritage laissé par leur père et mère et par leurs proches que cet héritage soit minime ou important. C’est une part imposée ». (*)
(*) C’est-à-dire imposée par Allah.
قال الله تعالى : لِّلرِّجَالِ نَصِيبٌ مِّمَّا تَرَكَ الْوَالِدَانِ وَالْأَقْرَبُونَ وَلِلنِّسَاءِ نَصِيبٌ مِّمَّا تَرَكَ الْوَالِدَانِ وَالْأَقْرَبُونَ مِمَّا قَلَّ مِنْهُ أَوْ كَثُرَ نَصِيبًا مَّفْرُوضًا
(سورة النساء ٧)
Remarque : Dans ce verset, Allah a mentionné la part des femmes dans l’héritage avec la même formulation qui a été utilisée pour la part des hommes afin de mettre en évidence l’importance du droit des femmes car durant la Jahiliya (période de grande ignorance qui a précédé l’Islam), les femmes étaient victimes d’injustice puisqu’il ne leur était donné aucun droit à l’héritage.
(Voir Tefsir Sourate Nissa de Cheikh ‘Otheimine vol 1 p 50)
D’après Hakim Ibn Jabir, Zayd Ibn Thabit (qu’Allah l’agrée) a dit : « Le fait que seul les hommes héritent et pas les femmes fait partie des actes de la Jahiliya ».
(Rapporté par Darimi dans ses Sounan n°3111 et authentifié par Cheikh Muhammed Al Imam dans son ouvrage I’lam An Noubala Bi Ahkam Mirath An Nissa p 37)
عن حكيم بن جابر قال زيد بن ثابت رضي الله عنه : هذا من عمل الجاهلية أن يرث الرّجال دون النساء
(رواه الدارمي في سننه رقم ٣١١١ وصححه الشيخ محمد الإمام في كتابه إعلام النبلاء بأحكام ميراث النساء ص ٣٧)
Ainsi, celui qui cherche à priver une femme de son droit à un héritage a commis un acte de la Jahiliya.
– Allah a dit dans la sourate Nissa n°4 verset 11 (traduction rapprochée et approximative du sens du verset) après avoir mentionné les règles de l’héritage des enfants du défunt : « Ceci est une obligation venant d’Allah (*). Allah est certes omniscient et sage ».
(*) C’est-à-dire que cette obligation ne provient ni d’un ange proche d’Allah ni d’un prophète qui a été envoyé et c’est Allah seul qui l’a imposée.
(Tefsir Sourate Nissa de Cheikh ‘Otheimine vol 1 p 79)
قال الله تعالى : فَرِيضَةً مِّنَ اللَّهِ إِنَّ اللَّهَ كَانَ عَلِيمًا حَكِيمًا
(سورة النساء ١١)
2. Allah a mentionné que les parts définies de l’héritage sont une – wasiya – venant de Lui
– Allah a dit dans la sourate Nissa n°4 verset 11 (traduction rapprochée et approximative du sens du verset) au début du verset sur l’héritage des enfants du défunt : « Allah vous fait une wasiya concernant vos enfants ».
قال الله تعالى : يُوصِيكُمُ اللَّهُ فِي أَوْلَادِكُمْ
(سورة النساء ١١)
– Allah a dit dans la sourate Nissa n°4 verset 12 (traduction rapprochée et approximative du sens du verset) après avoir mentionné les règles de l’héritage du conjoint du défunt et celles de l’héritage des frères et sœurs du défunt : « Ceci est une wasiya venant d’Allah et Allah est savant et longanime ».
قال الله تعالى : وَصِيَّةً مِّنَ اللَّهِ وَاللَّهُ عَلِيمٌ حَلِيمٌ
(سورة النساء ١٢)
Le terme – wasiya / وصية – désigne un pacte qui est particulièrement appuyé / العهد المؤكد .
(Tefsir Sourate Nissa de Cheikh ‘Otheimine vol 1 p 10)
Ainsi, l’utilisation du terme – wasiya / وصية – indique une obligation qui est plus forte et plus appuyée que l’utilisation du terme – obligation – .
(I’lam An Noubala Bi Ahkam Mirath An Nissa de Cheikh Muhammed Al Imam p 19)
3. Le non-respect des parts définies de l’héritage est un égarement
– Allah a dit dans la sourate Nissa n°4 verset 176 (traduction rapprochée et approximative du sens du verset) à la fin du verset sur l’héritage des frères et soeurs : « Allah vous expose Ses règles afin que vous ne vous égariez pas (*) et Allah a connaissance de toute chose ».
(*) C’est-à-dire qu’Allah vous expose les règles de l’héritage afin que vous ne vous égariez pas du chemin de la vérité et que vous tombiez dans le faux.
(Voir Fatawa Nour ‘Ala Darb de Cheikh Ibn Baz vol 27 p 148)
قال الله تعالى : يُبَيِّنُ اللَّهُ لَكُمْ أَن تَضِلُّوا وَاللَّهُ بِكُلِّ شَيْءٍ عَلِيمٌ
(سورة النساء ١٧٦)
4. Allah a menacé du feu ceux qui ne respectent pas les parts définies de l’héritage
Allah a dit dans la sourate Nissa n°4 versets 13 et 14 (traduction rapprochée et approximative du sens des versets) à la fin des versets sur l’héritage des frères et sœurs : « Telles sont les limites établies par Allah (1).
Quiconque obéit à Allah et à Son Messager (2), Allah le fera entrer dans des jardins sous lesquels coulent des ruisseaux et dans lesquels il demeurera éternellement. Et ceci est l’immense réussite.
Et quiconque désobéit à Allah et à Son Messager et transgresse Ses limites, Allah le fera entrer dans un feu dans lequel il demeurera éternellement et subira un châtiment avilissant ». (3)
قال الله تعالى : تِلْكَ حُدُودُ اللَّهِ وَمَن يُطِعِ اللَّهَ وَرَسُولَهُ يُدْخِلْهُ جَنَّاتٍ تَجْرِي مِن تَحْتِهَا الْأَنْهَارُ خَالِدِينَ فِيهَا وَذَٰلِكَ الْفَوْزُ الْعَظِيمُ
وَمَن يَعْصِ اللَّهَ وَرَسُولَهُ وَيَتَعَدَّ حُدُودَهُ يُدْخِلْهُ نَارًا خَالِدًا فِيهَا وَلَهُ عَذَابٌ مُّهِينٌ
(سورة النساء ١٣ و ١٤)
(1) C’est-à-dire que ces héritages et ces parts définies qu’Allah a donné aux héritiers en fonction de leur proximité vis-à-vis du défunt et du besoin qu’ils avaient de lui sont les limites d’Allah et ainsi vous ne devez pas les transgresser et les dépasser.
(2) C’est-à-dire en n’ajoutant pas à la part de certains héritiers et en ne diminuant pas la part de certains autres en utilisant des subterfuges.
(3) Ceci car il a changé le jugement rendu par Allah et s’y est opposé.
Cette manière d’agir ne provient que du fait qu’il n’est pas satisfait de la manière dont Allah a jugé et a partagé l’héritage et c’est pour cela qu’il sera humilié dans le châtiment douloureux et perpétuel.
(Tefsir Ibn Kathir vol 1 p 450)
Il faut préciser que si une personne ne respecte pas cet ordre divin par faiblesse de foi et sans juger cela comme n’étant pas obligatoire alors elle n’est pas sous la menace de l’éternité dans le feu mais sous la menace d’y rester durant une longue période.
(Voir Tefsir Al Qortobi vol 6 p 136)
فنزلت آية الفرائض
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٥٦٧٦)
حكم : إسناده صحيح على شرط الشيخين
Elle a dit : Ô Messager d’Allah ! Ces deux filles sont les filles de Sa’d Ibn Ar Roubayi’ (qu’Allah l’agrée).
Leur père est mort en martyr avec toi le jour de Ouhoud et leur oncle a pris leur argent et ne leur a rien laissé du tout. Et elles ne se marieront pas si elles n’ont pas d’argent.
Le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) a dit : « Allah va juger à propos de cela ».
Alors, le verset sur l’héritage a été descendu (*) et le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) a dit à leur oncle : « Donne aux deux filles de Sa’d les deux-tiers de l’héritage. Donne à leur mère le huitième et ce qui restera est pour toi ».
(Rapporté par Tirmidhi dans ses Sounan n°2092 qui l’a authentifié et il a également été authentifié par Cheikh Albani dans sa correction de Sounan Tirmidhi, Hadith Hasan)
(*) Il s’agit du verset 11 de la sourate Nissa n°4.
قال رسول الله صلى الله عليه وسلم : يقضي الله في ذلك
فنزلت آية الميراث فبعث رسول الله صلى الله عليه وسلم إلى عمهما فقال : أعط ابنتي سعد الثلثين وأعط أمّهما الثمن وما بقي فهو لك
(رواه الترمذي في سننه رقم ٢٠٩٢ وصححه وحسنه الشيخ الألباني في تحقيق سنن الترمذي)
حكم : حسن
« Toutes les créatures, même les poissons dans la mer, prient (*) en faveur de celui qui enseigne le bien ».
(*) La prière ici est à prendre au sens linguistique du terme qui est l’invocation.
(Rapporté par Daylami et authentifié par Cheikh Albani dans la Silsila Sahiha n°1852, Hadith Lahou Chahid Qawwy)
الخلق كلهم يصلون على معلم الخير حتى نينان البحر
(رواه الديلمي وحسنه الشيخ الألباني في السلسلة الصحيحة رقم ١٨٥٢)
حكم : له شاهد قوي
(Rapporté par Ahmed et authentifié par Cheikh Albani dans la Silsila Sahiha n°1618, Hadith Isnad Sahih selon les conditions de Boukhari et Mouslim))
(رواه أحمد وصححه الشيخ الألباني في السلسلة الصحيحة رقم ١٦١٨)
حكم : إسناده صحيح على شرط الشيخين
« Ne détestez pas les filles car elles sont certes celles qui adoucissent la vie, les précieuses ». (*)
(Rapporté par Ahmed dans son Mousnad n°17373 et authentifié par Cheikh Albani dans la Silsila Sahiha n°3206, Hadith(*))
(*) Durant la Jahiliya, la période d’ignorance qui a précédé l’Islam, les arabes détestaient avoir des filles et se fâchaient très fortement lorsque c’était le cas.
Certains allaient même jusqu’à enterrer les filles vivantes. Allah les a blâmés pour cela.
Ainsi, l’Islam a montré que cette habitude est mauvaise et qu’avoir des filles est au contraire un grand bienfait.
(*) Le statut du Hadith: خلاصة حكم المحدث : جاء من رواية قتيبة بن سعيد عن ابن لهيعة وهي ملحقة -من حيث الصحة- برواية العبادلة عنه، وله شاهد مرسل signifie que le hadith en question a été rapporté par Qutaybah ibn Sa‘îd d’après Ibn Lahî‘ah.
Explication détaillée du statut :
« جاء من رواية قتيبة بن سعيد عن ابن لهيعة »
→ Le hadith est transmis par Ibn Lahî‘ah, un narrateur connu pour sa faiblesse, mais ici, il est rapporté par Qutaybah ibn Sa‘îd, qui est l’un de ceux qui ont pris directement de lui avant que sa mémoire ne se détériore.
« وهي ملحقة -من حيث الصحة- برواية العبادلة عنه »
→ Cela signifie que cette chaîne de transmission est considérée comme ayant une fiabilité proche de celle des « عِبَادِلَة » (les quatre Abdallah qui ont rapporté de lui : Ibn al-Mubârak, Ibn Wahb, etc.), car ils prenaient d’Ibn Lahî‘ah à une période où il était plus fiable.
« وله شاهد مرسل »
→ Un hadith « mursal » (envoyé) est une tradition rapportée par un Tâbi‘î sans mentionner le Sahâbi. La présence d’un shâhid mursal (témoignage partiel sous forme d’un hadith mursal) peut renforcer, mais ne suffit pas à le rendre authentique en soi.
Conclusion :
Le hadith n’est pas sahîh, mais il est d’un niveau de fiabilité meilleur que le reste des narrations d’Ibn Lahî‘ah, en raison de la transmission par Qutaybah ibn Sa‘îd et de l’existence d’un témoin mursal. Il peut être utilisé comme support, mais il ne peut pas être pris comme preuve indépendante dans les questions légales ou doctrinales.
لا تكرهوا البنات فإنهن المؤنسات الغاليات
(رواه الإمام أحمد في مسنده رقم ١٧٣٧٣ وحسنه الشيخ الألباني في السلسلة الصحيحة رقم ٣٢٠٦)
حكم : جاء من رواية قتيبة بن سعيد عن ابن لهيعة وهي ملحقة -من حيث الصحة- برواية العبادلة عنه، وله شاهد مرسل
(Rapporté par Tabarani et authentifié par Cheikh Albani dans la Silsila Sahiha n°2822, Hadith Hasan)
(رواه الطبراني وحسنه الشيخ الألباني في السلسلة الصحيحة رقم ٢٨٢٢)
حكم : حسن
(Rapporté par Abou Ya’la et authentifié par Cheikh Albani dans la Silsila Sahiha n°2609, Hadith Sahih)
(*) C’est-à-dire de ce qu’Allah a interdit.
(رواه أبو يعلى وصححه الشيخ الألباني في السلسلة الصحيحة رقم ٢٦٠٩)
حكم : صحيح بشواهده
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°6133)
(1) C’est-à-dire qu’une bête qui était cachée dans un trou a piqué un croyant.
(2) Le sens voulu est que le croyant ne fait pas deux fois la même erreur.
(3) Le hadith est sous la forme d’une information mais son sens est l’ordre.
C’est-à-dire que le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) ordonne au croyant d’être prudent et attentif à ne pas tomber une nouvelle fois dans ce qui lui a déjà causé du tort que ce soit dans les choses relatives à la religion ou aux affaires de l’ici-bas.
(Voir Charh Sahih Mouslim de Cheikh Al Etiopi vol 45 p 269)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٦١٣٣ ومسلم في صحيحه رقم ٢٩٩٨)
(Rapporté par Mouslim dans son Sahih n°2457)
(1) C’est-à-dire en rêve.
(2) Il s’agit de Oum Souleym (qu’Allah l’agrée).
(3) Il s’agit de Bilal Ibn Rabah (qu’Allah l’agrée).
(رواه مسلم في صحيحه رقم ٢٤٥٧)
S’il te reste quelque chose alors donne à ta famille.
S’il te reste quelque chose après avoir donné à ta famille alors donne à tes proches.
Et s’il te reste quelque chose après avoir donné à tes proches alors comme cela et cela ». (2)
(Rapporté par Mouslim dans son Sahih n°997)
(1) C’est-à-dire que si tu veux donner une aumône alors la meilleure chose est de commencer par toi même en comblant tes propres besoins.
(2) C’est-à-dire dans les différents actes de bien.
(Voir Charh Sahih Mouslim de Cheikh Al Etiopi vol 19 p 261)
فإن فضل شيء فلأهلك
فإن فضل عن أهلك شيء فلذى قرابتك
فإن فضل عن ذى قرابتك شيء فهكذا وهكذا
(رواه مسلم في صحيحه رقم ٩٩٧)
Ô Allah ! Tu es certes Allah, aucune divinité ne mérite d’être adorée en dehors de Toi. Tu es le Riche et nous sommes les pauvres. Fais descendre sur nous la pluie salvatrice… ».
(Rapporté par Abou Daoud dans ses Sounan n°1173 et authentifié par Cheikh Albani dans sa correction de Sounan Abi Daoud, Hadith Hasan)
(رواه أبو داود في سننه رقم ١١٧٣ وحسنه الشيخ الألباني في صحيح أبي داود)
حكم : حسن