Sahih Al Boukhari – 02 – Livre de la Croyance
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°8)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٨)
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°15)
(*) Ceci ne signifie pas que la personne est mécréante et qu’elle n’a aucune foi mais plutôt que sa foi n’est pas complète car la personne a délaissé un acte qui lui était obligatoire.
(Voir par exemple Charh Al ‘Arba’in Nawawiya de Cheikh Saleh Al Cheikh p 220)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ١٥ )
Après quoi, Allah, le Très-Haut, dira: « Faites sortir ceux qui avaient dans le coeur [ne fût-ce que] le poids d ‘un grain de moutarde de foi ».
En effet, on les fera sortir. Calcinés qu’ils seront, on les jettera dans le fleuve d’al-hayâ (de pluie) ou: d’ al-hayât (de vie), le doute vient de Mâlik (Le Narrateur est dans le doute quant à quel est le bon terme) – et de là, ils repousseront comme repousse une graine au bord du torrent. N’as-tu pas vu qu’elle sort toute jaune et courbée?.»
(Rapporté Par Al Boukhari dans son Sahih n°22)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ۲۲)
« Allah m’a montré l’enfer et j’ai vu que la majorité de ses habitants était des femmes, car elles renient »
On demanda : « Car elles renient Allah ? »
Il répondit : « [Non mais] parce qu’elles renient les bienfaits de leurs époux et les faveurs qu’ils leur font. Tu peux être bienfaisant envers une femme toute ta vie. Il suffit que tu la contraries une fois pour qu’elle dise « Tu n’as jamais été bienfaisant envers moi ».
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°29)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ۲۹)
« Celui qui prie la nuit durant le ramadan avec foi et en espérant la récompense, a ses péchés précédents pardonnés ».
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°37)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٣٧ و مسلم في صحيحه رقم ٧٥٩)
(Rapporté Par Al Boukhari dans son Sahih n°48)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ۴۸)
Une fois, il me dit: « Reste chez moi et je te réserverai une part de mes biens! »
[En effet], j’acceptais et deux mois après mon séjour, il me dit: « A l’arrivée du groupe délégataire de ‘Abd-al-Qays chez le Prophète (ﷺ) celui-ci demanda: « Qui sont ces gens? (ou Ô délégation de ‘Abdul Qais (1)) Nous appartenons à Rab’ia, répondirent-ils. Soyez les bienvenus (ou: que la délégation de ‘Abdul Qais soient les bienvenus), sans être confondus et sans regrets! Ô Messager d’Allah (ﷺ)! nous ne pouvons venir te voir que durant l’un des mois sacrés,
il y a ce clan des mécréants de Mudar qui nous sépare de toi. Recommande-nous une chose assez claire que nous transmettrons à ceux que nous avons laissés derrière nous, et qui nous fera entrer au Paradis.“ ils l’interrogèrent en outre au sujet des boissons. Et lui de leur recommander quatre choses et leur en interdire quatre autres. Il leur recommanda de croire en Allah.
« Est-ce que vous savez ce qu’est la foi en Allah Seul ? ».
Ils ont dit : Allah et son Messager sont plus savant.
Le Prophète (ﷺ) a dit : « L’attestation de La Ilaha Illa Allah et que Muhammad est le Messager d’Allah, l’accomplissement de la prière, l’acquittement de la zakat, le jeûne de ramadan et que vous donniez le cinquième du butin ».
Et il leur interdit quatre choses: Al-hantam, Ad-dubbâ’, An-naqîr et Almuzaffat (2) (il se peut qu ‘ il cita aussi: al-muqayyar). Enfin, il leur dit: « Retenez bien cela et transmettez-Le à ceux que vous avez laissés derrière vous! »
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°53)
(1) ‘Abd Al Qays est le nom d’une tribu venant de Bahrein.
(2) II s’agit de récipients qu‘on utilisait pour la fermentation du vin.
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٥٣)
D’après Ziyad Ibn ‘Ilaqa, J’ai entendu Jarir Ibn ‘Abdillah (qu’Allah les agrée lui et son père) a dit :
« Le jour de la mort d’al-Mughira ibn Chu’ba (1), il (Jarir) se leva, loua et glorifia Allah.
Je l’entendis dire: « Vous devez craindre Allah seul, sans rien Lui associé, et être calmes jusqu’à l’arrivée d’un nouveau gouverneur. »
D’ailleurs celui-ci ne tardera pas à venir.
« Quant à votre gouverneur [qui vient de rendre l’âme], demandez pour lui le pardon d’Allah, car lui-même aimait pardonner…»
Après cela, il (Jarir) ajouta: « Cela dit, [sachez qu’une fois], Je suis certes allé vers le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) et j’ai dit : Je te prête serment d’allégeance sur l’Islam ; alors il m’a mis une condition : Et sur le fait de conseiller chaque musulman.
Alors je lui ai prêté serment d’allégeance sur cela.
« Par le Seigneur de cette Mosquée! je suis sincère et fidèle envers vous (musulmans).» Et il implora enfin le pardon d’Allah avant de s’asseoir (2).
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°58)
(1) Le gouverneur d’al-Kûfa.
(2) Ou: avant de descendre [du minbar].
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٥٨)