Sahih Al Boukhari – 08 – Livre de la Prière
Jibril est alors descendu et a fendu ma poitrine puis il l’a lavé avec de l’eau de zamzam.
Il est ensuite venu avec un récipient en or rempli de sagesse et de foi, il l’a vidé dans ma poitrine.
Après cela il a pris ma main et m’a fait monter vers le ciel de la vie d’ici-bas…
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°349)
(*) Hadith partiellement rapporté
ثم أخَذ بيدي فعرَج بي إلى السماءِ الدنيا
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٣٤٩)
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°350)
Annotation
Dans les Sounans de Nasai, la version rapportée est plus détaillé
On rapporte de ‘Aîcha – رضي اللّه تعالى عنها – qu’elle a dit : « Au départ la prière avait été rendu obligatoire 2 rak’at, puis la prière du voyage est restée inchangée et la prière du résident a été complétée ».
(Rapporté par Nasai dans ses Sounan n°453 et authentifié par Cheikh Albani dans Sahîh Nasai, Hadith Sahîh)
Cheikh Al ‘Outheymine (Qu’Allah lui fasse miséricorde) :
Lorsque les prières obligatoires de 4 rak’at ont été prescrite au départ elles étaient de 2 rak’at : ainsi le fadjr était de 2 rak’at, le dhohr 2 rak’at, le ‘asr 2 rak’at, le ‘ichâ 2 rak’at et le maghrib 3 rak’at car elle est la prière impair du jour. Et la prière a été rendu obligatoire au prophète عليه الصلاة والسلام un an ou trois ans avant l’hégire selon les historiens (ils ont divergé sur la date du mi’râdj – ascension).
Ainsi à la Mecque, le prophète عليه الصلاة والسلام priait le fadjr 2 rak’at, le dhohr 2 rak’at, le ‘asr 2 rak’at, le maghrib 3 rak’at et le ‘ichâ 2 rak’at.
Et lorsqu’il عليه الصلاة والسلام a émigré à Médine la prière du résident a été augmenté et donc il priait 4 rak’at le dhohr, le ‘asr, le ‘ichâ. Quant à la prière du fadjr, elle est restait dans son état car les 2 rak’at ont été compensées par la longue lecture. Et la prière du maghrib est restait dans son état car c’est la prière impaire du jour. La prière du résident a été augmentée mais la prière du voyageur est restée dans son état de départ.
(Explication de Boulough Al Mahram)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٣٥٠)
Il m’a répondu : « Oui. »
(Rapporté Par Al Boukhari dans son Sahih n°386)
Le sens global [du hadîth] :
Sa’îd Ibn Yazîd a interrogé Anas Ibn Mâlik (radhiallâhu ’anhu) au sujet du Prophète (ﷺ), à savoir s’il priait avec ses chaussures, et qui était pour lui un exemple à suivre sur cela ? – Il lui a répondu qu’effectivement il a prié avec ses chaussures. Et cela fait parti de sa Sounnah pure.
قال: نعم
(رواه البخاري في صحيحه رقم ۳۸۶)
* ‘ lbrâhîm: ce hadîth plaisait [aux compagnons de ‘ Abd-ul-Lâh ben Mas ‘ûd], car Jarîr fut parmi les derniers à embrasser l’islam.
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°387)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ۳۸۷)
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°390)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٣٩٠)
Peiné de cet acte au point où l’on pouvait remarquer cela sur son visage,
il (ﷺ) se leva gratta ledit crachat avec sa main et dit: « Quand l’un de vous se lève pour sa prière, il entre ainsi en conversation avec son Seigneur et son Seigneur se tient entre lui et la direction de la prière la Mecque (Qibla), que |’un de vous ne crache pas en direction de la Mecque (Qibla)! »
« Qu’il fasse plutôt cela à sa gauche ou sous ses pieds! »
Il (ﷺ) prit ensuite le bout de son manteau, cracha dessus, le plia et dit: « Ou bien faites comme ceci! »
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°405)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٤٠٥)
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°470)
قالا : من أهل الطائف
قال : لو كنتما من أهل البلد لأوجعتكما ترفعان أصواتكما في مسجد رسول الله صلى الله عليه وسلم
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٤٧٠)
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°477)
(1) C’est à dire tant qu’il attend la prière.
(2) C’est à dire tant qu’il n’a pas fait une chose qui annule ses ablutions.
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٤٧٧)
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°503)
(*) C’est-à-dire qu’ils s’empressaient d’aller vers les piliers de la mosquée pour s’en servir comme soutra et prier deux unités de prière surérogatoires avant la prière obligatoire du maghreb.
Ces deux unités de prière doivent être accomplies entre l’appel à la prière et l’iqama (second appel juste avant le début de la prière).
(Bahjatou Nathirin Charh Riyad Salihin vol 2 p 300/301)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٥٠٣)
Abou Al Nadr (2) a dit: Je ne sais pas si il a dit quarante jours, qurante mois ou quarante ans.
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°510)
(1) C’est à dire comme péché.
(2) C’est un des rapporteurs du hadith.
قال أبو النَّضرِ : لا أدري أقال أربعينَ يومًا أو شهرًا أو سنةً
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٥١٠)
(Rapporté Par Al Boukhari dans son Sahih n°552)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ۵۵۲)