Sahih Al Boukhari – 10 – Livre de l’Appel à la prière
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°604)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ۶۰۴)
« Lorsqu’on appelle à la prière Chaytan s’éloigne et il fait un pet (1) jusqu’à ce qu’il n’entende plus l’appel. Lorsque l’appel est terminé il revient jusqu’au moment de l’iqama alors il s’éloigne. Lorsque l’iqama (2) est finie il revient et se met entre la personne et la concentration, il dit: -Rappelle toi ceci, rappelle toi ceci-, des choses dont il ne se souvenait pas jusqu’à ce que la personne ne sache plus combien il a prié (3)».
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°608)
(1) C’est à dire qu’il fait un pet alors qu’il s’enfuie tellement l’appel à la prière lui fait peur.
(Fatawa de Cheikh ‘Otheimine au Masjid Al Haram durant l’été 1418, cassette n°7 à 48m40)
(2) C’est le nom du second appel à la prière, juste avant le début de la prière.
(3) C’est à dire que Chaytan ne cesse de le distraire en lui rappelant ces choses jusqu’à ce que la personne ne sache plus combien d’unités de prière elle a déjà prié.
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٦٠٨ )
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°614).
(*) Il ne faut pas comprendre de cette phrase que cette invocation se dit durant l’adhan, elle doit être dite après comme cela est explicité dans d’autres ahadith.
(1) Traduction en Français:
Mon Seigneur, Maître de cet appel complet, cette prière célébrée
Accorde à Mohammed (ﷺ) al-Wasilata wal-Fadilah.
Installe-le dans la Station louable que Tu lui a promise.
(2) En arabe avec les voyelles :
اللّهُمَّ رَبَّ هَذِهِ الدَعْوَةِ التَّامَّةِ وَالصَلاَةِ القَائِمَةِ آتِ مُحَمَّدًا الوَسِيلَةَ وَالفَضِيلَةَ وَابْعَثْهُ مَقَامًا مَحْمُودًا الَّذِي وَعَدْتَهُ
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٦١٤)
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°615)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ۶۱۵)
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°635)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ۶۳۵)
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°637)
Les prieurs dans la mosquée, si l’imam n’est pas dans la mosquée, ne doivent se lever pour la prière que lorsqu’ils voient l’imam.
Rapporté également par Mouslim dans son Sahih n°604
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٦٣٧)
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°645)
Rapporté également par Mouslim dans son Sahih n°650
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٦٤٥)
(Rapporté par Al Boukhari dans son Sahih n°646)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ۶۴۶)
Ceci car lorsqu’il fait les ablutions parfaitement puis sort vers la mosquée en ne voulant par cela que la prière, il ne fait pas un pas sans qu’Allah ne l’élève d’un degré et ne lui efface un péché.
Lorsqu’il prie les anges ne cessent d’invoquer pour lui tant qu’il est en prière: Ô Allah prie sur lui, ô Allah pardonne lui.
Et l’un d’entre vous ne cesse d’être en prière tant qu’il attend la prière (*) ».
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°647)
(*) C’est à dire tant qu’il attend à la mosquée le début de la prière en commun.
Rapporté également par Mouslim dans son Sahih n°649
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٦٤٧)
« Sept personnes seront couvert par Allah dans son ombre le jour où il n’y aura pas d’autre ombre que son ombre:
– un dirigeant juste
– un jeune qui a grandit dans l’adoration de son Seigneur
– un homme dont le coeur est accroché aux mosquées
– deux hommes qui se sont aimés pour Allah il se sont rassemblés pour lui et se sont séparés pour lui (1)
– un homme qu’une femme noble et belle a appelé et lui a dit: Je crains Allah
– un homme qui a fait une aumône qu’il a cachée au point où sa main gauche ne sait pas ce que sa main droite a dépensée
– un homme qui a mentionné Allah (2) alors qu’il est seul et s’est mis à pleurer ».
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°660)
(1) C’est à dire que la mort les a séparés alors qu’ils étaient dans cette situation, ils s’aimaient pour Allah.
(Charh Boulough Al Maram de cheikh Otheimine vol 6 p 215)
(2) Ceci est général et comprend le rappel d’Allah à travers la lecture du Coran, la prière, la réflexion, la méditation, la lecture de la vie du Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui)…
(Charh Boulough Al Maram de cheikh Otheimine vol 6 p 217)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ۶۶۰)
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°662)
Rapporté également par Mouslim dans son Sahih n°669
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٦٦٢)
Ensuite il a dit: Certes le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) ordonnait à celui qui faisait l’appel à la prière de dire -Priez dans vos maisons- quand la nuit était froide et pluvieuse.
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°666)
Rapporté également par Mouslim dans son Sahih n°697
ثم قال : إن رسول الله صلى الله عليه وسلم كان يأمر المؤذن إذا كانت ليلة ذات برد ومطر يقول : ألا صلوا في الرحال
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٦٦٦)
(Rapporté Par Al Boukhari dans son Sahih n°672)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ۶۷۲)
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°676)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٦٧٦)
En effet, Abu Bakr présidait la prière.
(Urwa un sous narrateur, ajouta): « Mais, en remarquant une certaine amélioration dans son état »
le Prophète (ﷺ) sortit de chez lui et trouva Abu Bakr en train de présider les gens en prière.
En s’apercevant de sa présence, Abu Bakr recule mais le Prophète (ﷺ) lui fut signe de rester à sa place. Après quoi, le Prophète (ﷺ) s’assit à côté d ‘Abu Bakr. Ce dernier suivait la prière du Messager d’Allah (ﷺ) et les fidèles suivaient celle d’Abu Bakr.»
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°683)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ۶۸۳ )
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°703)
(*) C’est à dire en tant qu’imam.
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٧٠٣)
Ainsi celui qui est imam pour les gens qu’il allège la prière car il y a derrière lui le faible, le vieux et celui qui est occupé ».
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°704)
فمن أم الناس فليتجوز فإن خلفه الضعيف والكبير وذا الحاجة
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٧٠٤)
Alors, j’entends les pleurs d’un enfant et donc je raccourcis ma prière car je sais la grande peine que causent les pleurs de l’enfant à sa mère ».
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°709)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٧٠٩)
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°726)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ۷۲۶)
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°727)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ۷۲۷)
Son Père dit: « En commençant la prière, le Messager d’Allah (ﷺ) levait les mains au niveau des épaules, De même lorsqu’il prononce Ie tekbîr pour le rukû‘ (l’inclinaison) relève la tête du rukû,
il (ﷺ) les levait et disait:
Sami ‘ a-l-Lâhu liman hamidahu… Rabbanâ wa laka-l-hamdu.
= (Allah a entendu celui qui l’a loué. Notre maître , la louange Te revient.)
سَمِعَ اللَّهُ لِمَنْ حَمِدَهُ، رَبَّنَا وَلَكَ الْحَمْدُ
Cependant, il ne faisait pas cela en se prosternant. (c’est-à-dire lever les mains).
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°735)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ۷۳۵)
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°736)
Rapporté également par Mouslim dans son Sahih n°390
(1) C’est à dire lorsqu’il débutait sa prière
(2) C’est à dire lorsqu’il disait: Allahou Akbar.
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٧٣٦)
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°739)
(1) C’est à dire qu’il disait: Allahou Akbar.
(2) C’est à dire que le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) faisait cela.
Remarque :
Certaines personnes lorsqu’ils commencent la prière lèvent leurs mains et mettent leurs pouces au niveau du lobe de leurs oreilles.
Ceci est basé sur un hadith faible. (Rapporté par Nasai dans ses Sounan n°882 et jugé faible par Cheikh Albani dans Sahih Nasai)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٧٣٩)
Le Messager d’Allah (ﷺ) a dit: « Point de prière pour celui qui ne récite pas Al-Fatiha dans sa prière. »
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°756)
Et pour le Reconvertie qui ne connait pas Al-Fatiha, il peut dire:
Soubhanallah, walhamdulillah, wa la ilaha illa Lah, Allahou akbar, wa la hawla wa la qouata illa bi Lah.
La Preuve est authentifié par Cheikh Albani dans Sifat Salat page 98
(رواه البخاري في صحيحه رقم ۷۵۶)
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°759)
COMPLEMENT :
L’Imâm Ibn Qayyim :
والإسرار في الظهر والعصر بالقراءة، وكان يُسمع الصحابة الآية فيها أحياناً
« Réciter à voix basse pour Dhor et Asr, et parfois on pouvait entendre les compagnons y [réciter] les versets (i.e. Qu’ils lisaient à voix haute) »
(Zâd al-Ma’âd (1/247))
Cheikh Ibn Bâz :
ويستحب أن يجهر ببعض الآيات في الصلاة السرية بعض الأحيان؛ لأن النبي ﷺ يفعل ذلك
« Il demeure préférable de lire de temps en temps à voix haute quelques versets dans la prière qui doit être accomplie à voix basse, parce que le Prophète (ﷺ) agissait ainsi. »
(Majmû’ al-Fatâwâ (11/123))
Il dit ailleurs :
ويشرع للإمام أن يجهر بعض الأحيان ببعض الآيات لقول أبي قتادة كان النبي ﷺ يسمعنا الآية أحياناً يعني : في صلاة الظهر و العصر
« Il est permis à l’Imâm d’élever la voix en récitant certains versets, et ce conformément aux propos rapportés par Abû Qatâda disant que parfois, le Prophète (ﷺ) récitait les versets de vive voix. il désigne par là les prières du Dhor et du ‘Asr. »
(Majmû’ al-Fatâwâ (11/127))
(رواه البخاري في صحيحه رقم ۷۵۹)
Si tu ne rajoutes rien à Oum Al Quran (2) alors elle te suffi et si tu rajoutes alors ceci est meilleur (3) ».
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°772)
(1) C’est à dire : Les prières durant lesquelles le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) récitait à voix haute alors nous récitons à voix haute et celles durant lesquelles il récitait à voix basse alors nous récitons à voix basse.
(2) C’est à dire la sourate Al Fatiha n°1 qui est aussi nommé Oum Al Quran/La mère du Coran.
(3) C’est à dire que le fait de ne réciter que la sourate Al Fatiha est suffisant pour que la prière soit valable.
Par contre il est recommandé de réciter ce que l’on peut du Coran en plus de la sourate Al Fatiha dans les deux unités de prière de la prière du sobh, dans les deux premières unités de prière des prières du dohr, du ‘asr, du maghreb et du ‘icha ainsi que dans toutes les prières surérogatoires.
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٧٧٢)
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°780)
(*) C’est à dire qu’Allah pardonne les petits péchés des gens dont la parole -Amine- a coïncidé avec la parole -Amine- des anges.
(رواه البخاري في صحيحه رقم ۷۸۰)
« En s’apprêtant à faire la prière, le Messager d’Allah (ﷺ) prononçait le tekbîr en étant dans la position debout, de même en faisant le rukû (inclinaison),
Et en relevant la tête du rukû,
il disait: Sami ‘ a-l-Lâhu liman hamidahu (Allah entend celui qui Le loue)
سَمِعَ اللَّهُ لَمِنْ حَمِدَهُ
Puis, en étant bien debout, il disait:
Rabbana laka-l-hamdu (… wa laka-l-hamdu, d’après Al- Laith).
رَبَّنَا لَكَ الْحَمْدُ
Après quoi, il prononçait aussi le tekbîr en s’abaissant [pour Ie sujûd], en relevant la tête, en se prosternant, en relevant aussi la tête. Il faisait cela dans toute Ia prière, et ce jusqu’à ce qu’il ait terminé. Aussi, il prononçait le tekbîr en se levant après les deux premières rak ‘a, c’est-à-dire après la position assis. (après s’être assis pour at-Tahiyyat)»
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°789)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ۷۸۹)
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°796)
(1) C’est à dire lors de la prière en commun lorsqu’il se relève de l’inclinaison.
(2) C’est à dire : Allah entend / exauce ceux qui Le louent.
(3) C’est à dire : Ô Allah, notre Seigneur ! À Toi la louange.
En arabe:
(4) C’est à dire que les anges disent aussi cette invocation.
Remarque n°1 : La personne qui prie seule, lorsqu’elle se relève de l’inclinaison, dit -Sami’a Allahou Liman Hamidah- et dit ensuite -Rabbana Walakal Hamd-
L’imam Tahawi (mort en 321 du calendrier hégirien) a dit : « Il est confirmé par consensus des savants que la personne qui prie seule dit -Sami’a Allahou Liman Hamidah- puis dit ensuite -Rabbana Walakal Hamd- ».
(Charh Ma’ani Al Athar vol 1 p 241)
Remarque n°2 : La personne qui prie derrière un imam dit uniquement -Rabbana Walakal Hamd- et ne dit pas avant cela -Sami’a Allahou Liman Hamidah-.
C’est comme ceci que les compagnons du Prophète (qu’Allah les agrée) ont compris cette question.
D’après Abou Al Ahwas, ‘Abdallah Ibn Mas’oud (qu’Allah l’agrée) a dit : « Lorsque l’imam dit : -Sami’a Allahou Liman Hamidah- alors que ceux qui sont derrière lui disent : -Rabbana Lakal Hamd- ».
(Rapporté par Ibn Al Mundhir dans Al Awsat n°1419. L’imam Al Haythami a dit dans Majma’ Az Zawaid n°2742 que les hommes de la chaîne de transmission sont dignes de confiance et il a été authentifié par Cheikh Zakaria Al Bakistani dans Ma Saha Min Athar Al Sahaba Fil Fiqh vol 1 p 524)
D’après Al A’radj, Abou Houreira (qu’Allah l’agrée) a dit : « Lorsque l’imam lève sa tête de l’inclinaison et dit : -Sami’a Allahou Liman Hamidah- alors dit : -Rabbana Lakal Hamd- ».
(Rapporté par Ibn Al Mundhir dans Al Awsat n°1422 et authentifié par Cheikh Zakaria Al Bakistani dans Ma Saha Min Athar Al Sahaba Fil Fiqh vol 1 p 525)
D’après Nafi’ : Lorsque ‘Abdallah Ibn ‘Omar (qu’Allah les agrée lui et son père) priait derrière un imam et que celui-ci disait -Sami’a Allahou Liman Hamidah- alors il disait : -Allahoumma Rabbana Lakal Hamd- ».
(Rapporté par Ibn Al Mundhir dans Al Awsat n°1420 et authentifié par Cheikh Zakaria Al Bakistani dans Ma Saha Min Athar Al Sahaba Fil Fiqh vol 1 p 525)
فإنّه من وافق قوله قول الملائكة غفر له ما تقدم من ذنبه
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٧٩٦)
Alors un homme derrière lui a dit: « Rabbana Walakal Hamd Hamdan Kathiran Tayyiban Moubarakan Fih ».
Quand il a terminé sa prière le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) a dit: « Qui a parlé ? ».
L’homme a dit: Moi.
Le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) a dit alors: « J’ai vu une trentaine d’anges qui s’empressaient pour être le premier à l’écrire ».
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°799
En phonétique: Rabbana Walakal Hamd Hamdan Kathiran Tayyiban Moubarakan Fih
En arabe:
قال رجل وراءه : ربنا ولك الحمد حمدا كثيرا طيبا مباركا فيه .
فلما انصرف قال النبي صلى الله عليه وسلم : من المتكلم ؟
قال : أنا .
قال النبي صلى الله عليه وسلم : رأيت بضعة وثلاثين ملكا يبتدرونها أيهم يكتبها أول
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٧٩٩)
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°807)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ۸۰۷)
Le Prophète (ﷺ) a dit: « On m’a ordonne de me prosterner sur sept os: le front et il montra de la main son nez [les deux comptent donc pour un seul membre] les deux mains, les deux genoux et les pointes des pieds. Et nous ne devons pas ramasser le vêtement ou les cheveux.»
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°812)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ۸۱۲)
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°829)
(*) Les Savant disent à partir de ce hadith que Si le prieur se rend compte de son oubli après s’être relevée, elle n’aura pas à faire le premier Tachahoud. Elle doit terminer sa prière et effectuer les prosternations de la distraction avant la salutation finale..
فسجد سجدتين قبل أن يسلم ، ثم سلم) .
(رواه البخاري في صحيحه رقم ۸۲۹)