Sahih Al Boukhari – 61 – Livre de la Noble Nature (Des Compagnons)
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°3509)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٣٥٠٩)
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°3527)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ۳۵۲۷)
(Rapporté par l’imam Boukhari dans son Sahih n°3535)
Rapporté également par Mouslim dans son Sahih n°2286
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٣٥٣٥)
Il a dit : Certes je sais que je profite encore de mon ouïe et ma vue que par la cause de l’invocation du Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui).
En effet ma tante m’a emmené auprès de lui et a dit : Ô Messager d’Allah ! Certes le fils de ma soeur est souffrant. Invoque Allah en sa faveur.
Alors il a invoqué (Allah) pour moi.
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°3540)
قال : فدعا لي
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٣٥٤٠)
Et Rabi’a ajouta : « J’ai vu un de ses poils qui était roux, comme j’en demandais (la cause), on me répondit qu’il avait roussi par l’usage du parfum. »
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°3547)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٣٥٤٧)
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°3559)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٣٥٥٩)
S’il en avait envie, il le mangeait sinon il le délaissait.
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°3563)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٣٥٦٣ ومسلم في صحيحه رقم ٢٠٦٤)
Il leur a dit: « Qu’avez vous ? ».
Ils ont dit: Nous n’avons comme eau pour les ablutions et pour boire que ce que tu as devant toi.
Alors le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) a mis sa main dans le vase et l’eau s’est mise à surgir d’entre ses doigts comme des sources.
Nous avons ensuite bu et fait nos ablutions.
Abou J’ad a dit à Jabir (qu’Allah l’agrée): Combien étiez vous ?
Il a dit: Si nous avions été cent mille cette eau nous aurait suffit mais nous étions mille cinq cent.
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°3576)
(*) Les musulmans étaient sortis de Médine pour se rendre à La Mecque durant l’année 6 après l’émigration du Messager d’Allah (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) pour accomplir la ‘omra.
Le Messager d’Allah (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) et les musulmans se sont arrêtés à un endroit proche de La Mecque qui s’appelle Al Houdeybiya et c’est à cet endroit qu’ils ont conclue un pacte avec les associateurs selon lequel ils reviendraient faire la ‘omra l’année suivante.
قالوا : ليس عندنا ماء نتوضأ ولا نشرب إلا ما بين يديك
فوضع يده في الركوة فجعل الماء يثور بين أصابعه كأمثال العيون فشربنا وتوضأنا
قال أبو جعد لجابر رضي الله عنه : كم كنتم ؟
قال : لو كنا مائة ألف لكفانا كنا خمس عشرة مائة
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٣٥٧٦)
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°3585)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٣٥٨٥)
« Les gens interrogeaient le Prophète صلى الله عليه وسلم sur le bien, et moi je l’interrogeais sur le mal, de peur de vivre jusque là.
Je lui dis : Envoyé d’Allah ! Nous étions dans la jâhiliyya et dans le mal, Allah nous a pourvu de ce bien, y aura-t-il du mal après ce bien?
Oui ! dit-il.
Et après, y aura-t-il du bien ?
Oui, dit-il ; mais mêlé de brume !
Comment est-elle cette brume? lui dis-je.
Des gens qui prêchent le contraire de mes enseignements, tantôt tu approuves leurs actes, tantôt tu les désapprouves !
Et après cela, y aura-t-il du mal ?
Oui dit le Prophète صلى الله عليه وسلم, des meneurs aux portes de l’Enfer, qui y précipiteront ceux qui répondront à leurs appels !
Envoyé d’Allah !
Décris-les nous !
Ils sont de nous-mêmes et parlent notre langue !
Que me conseilles-tu de faire si jamais j’arrive à ce jour-là ? dis-je.
Tâche d’être avec les communautés musulmanes et leur imam !
Et s’il n’y a pas de communautés musulmanes ni de imam ?
Alors éloigne-toi de tous ces partis même si tu es astreint à rester sous un arbre et à t’accrocher à son tronc à pleines dents jusqu’à ce que mort te rappelle ! »
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°3606)
كان الناس يسألون رسول الله-صلى الله عليه وسلم- عن الخير، وكنت أسأله عن الشر مخافة أن يدركني، فقلت: يا رسول الله، إنا كنا في جاهلية وشر فجاءنا الله بهذا الخير فهل بعد الخير شر؟
قال: نعم. فقلت: فهل بعد هذا الشر من خير؟ قال: نعم وفيه دخن،
قال قلت: وما دخنه؟
قال: قوم يستنون بغير سنتي ويهدون بغير هديي تعرف منهم وتنكر، فقلت هل بعد ذلك الخير من شر؟
قال: نعم فتنة عمياء دعاة على أبواب جهنم، من أجابهم إليها قذفوه فيها.
فقلت: يا رسول الله، صفهم لنا،
قال: نعم، قوم من جلدتنا ويتكلمون بألسنتنا،
فقلت: يا رسول الله، وما تأمرني إن أدركت ذلك،
قال تلزم جماعة المسلمين وإمامهم
قلت فإن لم يكن لهم جماعة ولا إمام؟
قال: فاعتزل تلك الفرق كلها، ولو أن تعض على أصل الشجرة حتى يدركك الموت وأنت على ذلك
(رواه البخاري في صحيحه رقم ۳۶۰۶)
[Cependant], ils sortiront de l’Islam comme sort une flèche du gibier. Leur foi ne dépassera pas l’issue de leur gorge… Tuez-les partout où vous les trouverez! Les
tuer vaudra, à celui qui les abat, une Récompense le Jour de la Résurrection.»
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°3611)
(*) « Des gens jeunes [mais] stupides et dont les propos seront les meilleures paroles des humains…»
Ceux qui sont visés dans ce hadith sont les Khawâridj, comme nous l’ont clarifié les gens de science.
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٣٦١١)
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°3636)
Conformément à la Parole d’Allah,
Allah a dit dans la sourate Al Qamar n°54 verset 1 (traduction rapprochée du sens du verset): « L’heure approche et la lune s’est fendue ».
قال الله تعالى : اقتربت الساعة وانشق القمر
(سورة القمر ١)
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٤٨٦٤)
Je lui ai acheté deux chèvres avec.
J’en ai vendu une pour un dinar et je me suis rendu vers le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) avec un dinar et une chèvre.
Alors le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) a invoqué en ma faveur la bénédiction dans la vente.
Choubaib a dit: S’il avait acheté de la poussière il aurait réussi a en tirer un bénéfice (*).
(Rapporté par Al Boukhari dans son Sahih n°3642)
(*) C’est à dire que suite à l’invocation du Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) en sa faveur pour qu’il y ait une bénédiction dans son commerce il faisait d’importants bénéfices quelque soit la marchandise qu’il vendait.
قال شبيب : وكان لو اشترى التراب لربح فيه
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٣٦٤٢)